Va una crítica de Joseph Macé-Scaron a la crítica literaria, quien cita otra de Gombrowicz en el número 480 (noviembre) de Le Magazine Littéraire:
"Une des misères de la critique, aujourd'hui, provient de ces articles un peu minables, peureux, pieux, qui tendent à protéger la littérature, à dire qu'elle continue, et même qu'elle n'est se jamais si bien portée. Il ne faut jamais rien protéger. Il ne faut pas protéger non plus la littérature, comme si c'était une petit chose misérable, une fleur timide, un pauvre petit animal qui avait besoin de nous pour survivre, une espèce en péril, un monument menacé. De toute façon, ou bien la littérature n'existe plus, et ce n'est certainement pas nous qui la ressusciterons; ou bien elle existe encore, dans la forme conflictuelle qui a été la sienne pendant des siècles, et elle n'a besoin de personne pour être affirmée. Résister à l'air du temps, c'est plutôt ici reconnaître que nous vivons dans une période de régression politique où l'autonomie de la littérature est fragilisée, c'est-à-dire où les œuvres sont de nouveau passées au crible de critères moraux avant toute considération esthétique (comme au bon vieux temps des Fleurs du mal)."
Y Gombrowicz:
"Je ne suis pas critique et je ne voudrais l'être pour rien au monde. Mon attitude 'critique' envers le nouveaux romans s'exprime dans le fait décisif et définitif, comme tous le faits, que je suis incapable de les lire. Pourquoi? Parce qu'ils m'ennuient. Ils m'ennuient, et c'est tout. Je pourrais tout au plus me demander d'où me vient cet ennui et s'il a une motivation plus profonde. Mais une telle analyse, vous en conviendrez, ne saurait être sérieuse, il est bien ingrat de porter un jugement sur quelque chose qu'on n'a pas lu. Qui sait, le secret de la résistance que ces livres opposent à la critique se trouve peut-être là? Ils sont tellement ennuyeux qu'ils sont ilisibles, alors on ne peut pas les critiquer."
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